Danse sur moi frérot, danse avec moi mon frère,
Que je ne connais pas, je marche sur tes pas,
Je te cherche partout, écoute ma prière,
Trop vite tu es passé, d’une vie à trépas,
Tu n’étais que le fruit de parents amoureux,
Avant que d’exister, tu as fermé les yeux,
Je pense à toi frérot, que je ne connais pas,
Tu m’as manqué bien sûr quand je perdais mes billes,
Trop vite tu es passé, d’une vie à trépas,
En souffrance est mon corps, me reste ma béquille,
Fabriqués tous les deux dans le lit de l’amour,
Tu étais le premier, à avoir vu le jour,
Danse sur moi frérot, chante pour moi mon frère,
Je t’invente chaque jour et façonne ton visage,
Je sais que tu me suis et je te sens là haut,
Au diable vauvert, les hommes sont ils sages?
Veille sur moi mon frère, comme veille l’étoile,
Tu sais celle qui brille, et jamais ne se voile.
Très beau poème rempli de belles émotions et de ce manque inexplicable .
Merci beaucoup pour votre commentaire! Douce soirée. Pierre
Bonsoir Pierre un poème qui m’a beaucoup ému
Il est triste et tendre à la fois ton texte
Ton coeur parle avec amour
à ton frère parti si vite c’est injuste
Tu l’imagines chaque jour à ton image c’est émouvant
Douce soirée amitiés je t’embrasse
Merci Béatrice pour votre commentaire. Amitiés!