Fuite en Sologne
La haie de peupliers, se reflète dans l’eau, Dans la pâleur du soir, l’étang de mon enfance, S’endort dans le lit des grands joncs et des roseaux, Tout est mystérieux. Oh! Douce souvenance, – Source de vie l’étang, verra au jour naissant, S’en venir l’aigrette, celle appelée Garzette, Ou un grand échassier, d’un pas très…