Elles sont pour vous ces quelques lignes,
Je crois que vous en êtes dignes,
La maman qui veille son enfant,
Attendant des jours triomphants,
La belle dévouée ā son amant,
Qui se sacrifie entièrement,
Le vieil homme dans sa chaise roulante,
Qui te parle des étoiles filantes,
Malgré son handicap sourit,
Solitaire dans sa vie pourrie,
Le handicap étant mémoire,
Enfoui comme un vieux grimoire,
Elles sont pour vous ces quelques lignes,
Je sais que vous en êtes dignes,
À toutes, tous qui ont froid l’hiver,
Et qui regrettent le temps d’hier,
Mais qui chaque jour sans vergogne,
Font sans rechigner la besogne,
À tous ceux que je n’ai point nommés,
Qui dans ma tête son nominés,
A qui je dédie ce poème,
Moi je vous offre la lettre M,
Elles sont pour vous ces quelques lignes,
Je sais que vous en êtes dignes.
Bonjour Pierre quel magnifique poème
garder sa dignité jusqu’au dernier souffle
le don d’aimer de donner et en chacun de nous
un sourire une main tendue pour ceux qui souffre
la dignité est un droit pour tous , surtout pour ceux qui en sont dignes
et ceux que nous aimons
spontanément cela est de l’amour qui en nous
bonne semaine ami poète mes amitiés
Béa
Merci Béatrice pour ce délicieux commentaire! Amitiés.
C’est un don de soi qui vient avec spontanéité et bonheur… celui d’offrir et de s’offrir aux autres, pour un sourire, un geste amical, un mot d’amour.
Chaque don de soi est précieux, il enrichit plus que tout au
monde.
Merci beaucoup Anne Torchet pour ce délicieux commentaire. Pierre