Je connais un endroit, un îlot de verdure,
Ou l’on peut s’isoler, rêver dans la nature,
Les pieds dans le ruisseau avec de bonnes ondes,
Je sens venir les mots, si ma muse est féconde,
J’ai un bout de papier, je note quelques rimes,
Dans ce joli décor sans danger de déprime,
Au delà du vallon je découvre un château,
Qui se dresse tout au loin, dans le soleil qui tôt,
Parait à l’horizon, regarde bien petit,
il nous porte sa flamme et je le remercie,
Chaque jour que Dieu fait, de voir le jour qui lève,
Depuis des millénaires, pas un seul jour de trêve
Dans cette végétation, cette nature bienveillante,
Je vois le soir venu, une femme qui me hante,
Elle passe devant moi, je la vois belle et fière,
Je ne suis pas certain qu’elle entende ma prière,
Alors je l’imagine et c’est une symphonie,
Pleine de volupté dans une douce harmonie.
Bonjour Pierre belle journée
beau poème et romantique sensuel rêveur j’adore
amitié poétique
Béa
Bonne journée également Béatrice fidèle lectrice! Merci d’apprécier! Amitiés poétiques.